L’opérateur de poker en ligne PokerStars vient, peu de temps avant le lancement de la nouvelle saison, de signer un contrat publicitaire et de développement exclusif avec l’écurie automobile britannique de Formule 1 : Red Bull Racing, qui appartient à l’Autrichien Dietrich Mateschitz depuis 2005. La fortune de cet homme d’affaires, cofondateur de la boisson énergisante, également propriétaire du RB Salzbourg de football, la ville de Mozart, s’estime à 24 milliards d’euros, selon Forbes.
Et la jeune mariée est affriolante au possible, jugeons-en : entre 2010 et 2013, Red Bull remporte 4 titres de champion du monde des constructeurs, en formule 1, grâce au moteur V8 Renault de ses voitures de course racées. Durant la même période, Sebastian Vettel 4 championnats du monde de pilotage sur ce véhicule. Puis, en 2021, vient le tour de Max Verstappen, qui est devenu le leader de l’écurie.
A n’en pas douter, Pokerstars s’octroie ainsi une visibilité inédite auprès des téléspectateurs et passionnés de F1 et de circuits automobiles, lors de tous les grands prix de la saison 2022 et les suivantes (le contrat unissant les deux firmes est pluri-annuel). Ce spécialiste du Poker en ligne sera présent grâce à un ensemble de prestations offertes, en devenant le principal sponsor du poids lourd de la course automobile.
Le logo de Pokerstars apparaîtra, non seulement, sur les combinaisons rutilantes des pilotes de la marque, mais également sur la voiture des champions, la RB18 (Les initiales de Red Bull). Celle-ci, par souci de l’espionnage industriel, n’a encore rien dévoilé des innovations qui en feront sûrement l’une des révélations et attractions de la nouvelle saison 2022.
Cet accord commercial va bien au-delà de l’apparition publicitaire et engage de nouvelles expériences, des promotions et des jeux-concours :
le premier objectif est, bien sûr de recruter de nouveaux utilisateurs parmi les amateurs de F1. Mais Pokerstars met un tigre dans son moteur grâce à la boisson énergisante, en développant avec Red Bull, une nouvelle technologie de diffusion de sa plateforme, afin de fournir aux joueurs de nouvelles méthodes leur permettant d’accroître leurs chances aux jeux. L’entente cordiale est donc un démultiplicateur d’audience pour les deux acteurs : à la fois sur les circuits et pour Red Bull, sur les sites de casino en ligne, qui lui confèrent une seconde existence virtuelle dans l’imaginaire des parieurs.
Les deux entreprises réalisent des intérêts communs en s’autorisant mutuellement à tirer bénéfice des prestations de l’autre, dans toute l’étendue de sa gamme d’excellence.
La plateforme de jeu en ligne offre ainsi sa sélection à multiples options au concessionnaire de compétition Red Bull : l’alliage magique se constitue de Pokerstars Casino, Pokerstars (jeu de poker) et Pokerstars Sports.
Derrière ce sigle au nom de la célèbre famille de jeux de cartes, apparue vers 1800, on trouve la grande entreprise de jeux d’argent et de paris, Flutter Entertainment, sise à Dublin, propriété du Britannique Peter Jackson et de son Président Directeur Général Dan Taylor, qui détient quelque 54% de Pokerstars, par leur acquisition de la marque en octobre 2019.
A l’instar de sa partenaire Red Bull Racing, Pokerstars partage la même philosophie et sa vision du jeu et du risque « audacieuse, passionnée, innovante », mais responsable. Elle veut ainsi créer le casino « le plus épique du secteur » de l’i-gaming (sic) en diversifiant l’expérience de jeux de ses utilisateurs, les joueurs et en partageant avec eux et Red Bull ses nouveaux développements.
L’i-gaming comprend tous les jeux qu’on peut jouer en ligne pour de l’argent et dont le poker est le parangon. Ce nouveau marché est en permanente expansion, d’où une concurrence d’autant plus rude. Il devient donc clair que Pokerstars, pour l’emporter, doit démontrer ses caractéristiques dans tous les domaines du Webmarketing, y compris l’appui exclusif de la société de compétition automobile. 
Ce marché, classé à la troisième place des plus grands marché de jeux d’argent en Europe, a enregistré 50 milliards d’euros de mises et 11 milliards de recettes brutes en 2019.
En France, la croissance du chiffre d’affaires dépend directement des paris au football et du Poker. Les joueurs occasionnels se régularisent dans leurs pratiques. Beaucoup d’autres cessent de se rendre dans les casinos physiques pour se reconvertir dans les univers virtuels de jeux d’argent, ce qui représente environ 2, 7 millions de nouveaux fans de l’i-gaming. C’est l’innovation constante du secteur qui emporte leur conviction, ce qui promet de belles ouvertures, pour l’orientation choisie en développement, par Pokerstars et son nouvel alter-ego automobile.
Les observateurs de ce domaine établissent un parallèle avec la pratique première des réseaux sociaux aux temps bénis de leur découverte : le penchant aux jeux d’argent en ligne va-t-il suivre la courbe fulgurante des échanges sociaux par messageries d’il y a dix ou vingt ans ? Pokerstars et Red Bull Racing se sont bien placés pour nous conter cette nouvelle épopée du Web…
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